L'horeca est confronté à une perte d'un septième de son chiffre d'affaires annuel, soit 2,2 milliards d'euros. "Le dommage économique sera énorme". Et pourtant l'horeca se relèvera, quand le coronavirus sera vaincu.
L'horeca se plaint souvent. Sur la difficile recherche du personnel, car la flexibilité est un must. Sur les caisses blanches, qui a fait jeter le gant à beaucoup de gens dans le secteur. Sur la baisse de la consommation de bière dans l'horeca qui dure depuis des décennie. Sur les contrats par lesquels brasseurs et négociants en bières rusés les étrangles. Sur les loyers exorbitants, alimentés par l'immobilier plus cher… Les chiffres donnent raison à ceux qui se plaignent.
Les établissements horeca sont fermés pour au moins sept semaines, jusqu'au dimanche 3 avril. Et alors que notre pays assouplit, avec réticence, les conditions pour certains secteurs, cela ne vaut pas pour l'horeca. Selon divers scénarios, il sera l'un des derniers à pouvoir redémarrer.
Pour son article sur l'impact de la crise de Corona sur le secteur horeca, Wolfgang RIepel, de Trends, a interviewé Matthias De Caluwé, administrateur-délégué de Horeca Vlaanderen, mais aussi Pascal Flisch, de TBI, Guy Dewulf, directeur de FEBED, et Filip Sevens, directeur de Prik&Tik. Vous trouverez ICI l'article complet (en néerlandais).
